42 % des cadres interrogés travaillent régulièrement chez eux le soir ou le week-end. D’autres préfèrent allonger leur journée de travail au bureau plutôt que de travailler chez eux : « je ne ramène pas de travail à la maison, mais je reste au bureau 12 à 15h par jour ».
Seulement 37% disent faire facilement la coupure entre leur travail et leur vie privée. Un nombre important exprime la crainte de faire des erreurs (53%) ; ce chiffre symbolise la pression ressentie. Les cadres soignants sont les plus exposés : la moitié sont obligés de travailler chez eux et plus de 60% vivent avec la crainte de faire des erreurs. Les femmes sont plus inquiètes sur le risque d’erreurs (10 pts de + que les hommes). Sur ces questions, les moins de 30 ans répondent de façon différente : ils sont moins stressés par rapport au risque d’erreurs (-5 pts) mais surtout travaillent nettement moins à leur domicile (-14 pts) et sont plus satisfaits de l’équilibre vie professionnelle – vie privée (+10 pts).
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