Décidément, l’Europe et les Etats-Unis ne partagent pas la même conception des libertés individuelles en matière d’usages des technologies, des droits et des devoirs des acteurs. Le dossier de la cybersurveillance matérialisé par le programme américain PRISM en est la parfaite illustration. Des années d’espionnage de millions d’internautes actifs sur Google, Facebook… devraient pourtant questionner les adeptes de l’éthique des affaires. Ce n’est pas de morale dont il s’agit mais bien de règles déontologiques et professionnelles qui devraient guider l’action de certaines entreprises. Le pouvoir politique doit se ressaisir sur ces questions aussi sensibles.
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