3 000 euros versés, 634 récupérés en cas de vente quelques mois plus tard. Pour ces milliers de salariés actionnaires à qui la direction de ce grand groupe avait vendu les mérites d’une meilleure appartenance à l’entreprise par l’achat d’actions, la potion est plutôt amère. Et si en plus demain, ils devaient perdre leur emploi, ce serait la double peine.
Il est urgent pour le syndicat CFE-CGC de ce groupe qui avait fait campagne pour l’actionnariat salarié de revoir sa copie. Vous avez dit appartenance ?
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