Argent épargné auprès des établissements bancaires, argent utilisé à des fins plus que critiquables par ces mêmes banques, argent de l’Etat et de l’Europe, donc argent des contribuables au secours de l’Irlande.
On nous chante la ballade des capitaux dont les citoyens épargnants irlandais et les contribuables européens se seraient volontiers passés.
Nous l’affirmons depuis plusieurs mois : la crise actuelle est aussi une crise de la responsabilité. Ou d’irresponsabilité sociétale, selon le point de vue. Une drôle de ballade où on envoie promener la responsabilité.
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