On connaît celles de Balzac. Celles du gouvernement alignées sur celles du patronat sont à perdre !
Penser que croissance et création d’emplois riment avec baisse du coût du travail, que dérèglementation et diminution des droits pour les salariés, et en particulier sur le temps de travail et de repos, serait synonyme de croissance retrouvée, que l’inversion de la courbe du chômage dépendrait d’un pouvoir présidentiel, que le passage en force à tous les niveaux serait LA solution pour réformer ce pays.
Que d’illusions à perdre au plus vite pour focaliser enfin toutes les énergies et synergies vers un nouveau mode de développement qui fasse sens et redonne confiance, redessine un horizon.
Tant d’illusions sont affligeantes de pauvreté de pensée économique et sociale!
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