Océarium du Croisic en Loire-Atlantique, un samedi soir vers 18h, un énorme bassin de centaines d’hectolitres où circulent des requins blancs, en toile de fond. Mais non, je ne vous parle pas de ma vie privée, ni d’une visite de week-end en famille, mais d’une séance très officielle de remise de diplômes de fins d’études du Cesi, le Centre des études supérieures et industrielles. Le vice-président du groupe Cesi que je suis, a l’honneur de remettre à une trentaine d’élèves, le précieux papier sanctionnant positivement des semaines, des mois ou des années d’études, selon les filières. Un soulagement pour nombre d’entre eux, un plaisir partagé avec les familles, avec les proches, qui ont consenti de nombreux efforts également. Les sourires qui éclairent les visages en disent long sur la joie des diplômés, jeunes et moins jeunes.
Car le Cesi, c’est aussi « l’école de la deuxième chance », pour ceux qui n’ont pas eu l’opportunité de poursuivre leurs études pour diverses raisons, souvent financières. Pour moi qui ai stoppé mes études à Bac + 2 pour les reprendre quelques années plus tard en formation continue diplômante, cette formule me parle bien. Je comprends d’autant mieux cette joie et ce bonheur.
Heureux comme des poissons dans l’eau.
Car le Cesi, c’est aussi « l’école de la deuxième chance », pour ceux qui n’ont pas eu l’opportunité de poursuivre leurs études pour diverses raisons, souvent financières. Pour moi qui ai stoppé mes études à Bac + 2 pour les reprendre quelques années plus tard en formation continue diplômante, cette formule me parle bien. Je comprends d’autant mieux cette joie et ce bonheur.
Heureux comme des poissons dans l’eau.
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