La crise grecque occupe le devant de la scène européenne. Ce n'est pourtant ni la fin du monde ni celle d'une civilisation qui a inventé la démocratie. La dette grecque parait bien petite au regard de la perte boursière... chinoise.
Relativisons. Ni l'alpha, ni l'oméga des défis sociétaux, mais si révélateurs d'une crise de responsabilités de certains décideurs. Des millions de Grecs n'y sont pour rien, y ont beaucoup perdu. A en perdre son latin.
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