Il avait déjà distingué les vrais et les faux chômeurs, les Français qui se lèvent tôt et ceux qui ne veulent pas travailler, les bons et les mauvais élèves en tous genres.
Il n’avait pas encore osé distinguer les vrais et les faux salariés. C’est désormais chose faite après l’accusation directe des représentants des salariés d’Arcelor, des représentants élus par leurs pairs.
A quand les vrais et les faux présidents de la République ? Les vrais et les faux parlementaires selon leur présentéisme à l’Assemblée nationale ? Les bons et les mauvais élus régionaux, municipaux ?
A l’heure de crises et de défis sans précédents qui exigent au contraire de rassembler, de fédérer, de créer les conditions du vivre ensemble, du travailler ensemble, comment un président de la République en exercice, élu par une majorité du peuple français, peut-il autant diviser, opposer ? Un contre-sens. Un déni de démocratie sociale et politique. Un président sorti de son rôle préfigurant sans doute un président sortant.
Bravo Jean-Paul pour cette réaction. Trop c'est trop!
Ton hypothèse, en conclusion, ne peut qu'être souhaitée et porteuse d'espoir.
Entre nous "le changement c'est maintenant"
Amicalement
Rédigé par : Pierre Vial | lundi 09 avril 2012 à 22h38